mercredi, février 28, 2007

Les glucides : la qualité compte !

Si la proportion de glucides (ou hydrates de carbone) à ingérer à chaque repas est très importante, la qualité de ceux-ci l’est encore plus.
En effet, c’est l’index glycémique qui détermine la vitesse d’assimilation des sucres. Plus celui-ci est haut (se rapproche de 100, tel le glucose) et plus il s’assimile rapidement. C’est l’effet sur la glycémie, la quantité de sucre dans le sang.
Le surplus de sucre dans le sang, celui qui ne sera pas utilisé en énergie, va alors aller se stocker sous forme de graisses.

Il existe des échelles avec les index glycémiques des aliments, mais il faut savoir que le pouvoir glycémiant des aliments peut encore varier en fonction du mode de consommation ou de cuisson, ou de son état (liquide ou solide).

Par exemple :

- les jus de fruits ont un index glycémique plus élevés que les fruits eux-même.
- consommer une grande part de salade/légumes verts avec une source de glucides a un effet « abaissant » de l’index glycémique.
- trop cuire les pâtes fait monter l’index glycémique. Attention aussi aux plats et aux sauces préparés, souvent précuits… de plus, l’index glycémique n’est quasiment (et bien malheureusement) jamais mentionné sur les étiquettes !

Les sucres lents sont ceux qui ont un index glycémique en-dessous de 55.

Pour plus d’infos, reportez-vous à la page 91 du GUIDE DU CHALLENGE et aux pages 13 et 20 de SOIGNE TA FORME.

Quelques exemples :

Bière 110
Maltose 105
Glucose 100
Pain blanc, baguette 95
Pommes de terre au four 95
Riz soufflé 90
Riz blanc précuit 90
Raisin 85
Pop-corn 85
Farine blanche 85

Pain complet 77
Frites 75
Courge 75
Pastèque 75
Pomme de terre à l’eau 70
Maïs 70
Croissant, petit pain au lait 70
Sodas 70
Sucre (saccarose) 70
Ananas 66
Jus d’orange industriel 65
Flocons d’avoine 60
Riz long blanc 60
Chips 55-60

Banane 55
Kiwi 55
Sarrasin 54
Crêpe au sarrasin 50
Sorbets 50
Pâtes complètes 45
Boulgour entier 45
Spagetti al dente 45
Pain de seigle 40
Pâtes intégrales 40
Quinoa 35
Poire 35
Figue 35
Pamplemousse 30
Pomme 30
Orange 30
Haricots verts 30
Cerise 22
Abricots frais 20
Lentilles 22
Oignons 10
Légumes verts 10
(chou, brocolis, etc.)
Salade verte 10
Tomate 10
Aubergine 10
Champignons 10

(source : Montignac-intl.com, Doctissimo.fr, mangermaigrir.fr)

mardi, février 27, 2007

GB: la mère d'un enfant obèse pourrait perdre sa garde

J'imagine que vous avez entendu parler de ce cas là relaté dans l'article suivant. Une situation malheureusement fréquente ou par amour ou ignorance, des parents rendent leurs enfants obèses. Est-ce une solution de leur enlever la garde de leur progéniture, l'avenir nous le dira, mais nous vivons dans un monde vraiment étrange par moment.


Les services sociaux britanniques pourraient placer sous tutelle un enfant de huit ans pesant 99kg si sa famille ne modifie pas son régime alimentaire, a déclaré lundi un porte-parole.
A huit ans, Connor McCreaddie, qui vit à Wallsend dans le nord du Royaume-Uni, pèse environ trois fois plus qu'un enfant de son âge. Un porte-parole des services sociaux a précisé que la famille de l'enfant serait convoquée mardi pour faire le point. Un autre responsable des services de santé a déclaré au "Sunday Times" que la famille de l'enfant n'a pas jusqu'à présent rencontré les nutritionnistes et personnels de santé nécessaires, malgré les injonctions.
Si cette situation devait perdurer, la mère de Connor, Nicola McKeown, pourrait se voir retirer la garde de l'enfant. Mme McKeown, est venue s'expliquer à la télévision, sur ITV, pour souligner qu'elle fait tout pour s'occuper correctement de Connor. Il dérobe des aliments et les mange en cachette, plaide-t-elle.
Le Dr Michael Markiewicz, pédiatre, convient que la mère de Connor essaie de prendre soin de l'enfant, "mais de la façon dont il est nourri, on le tue lentement". Selon le Dr Colin Waine, spécialiste de l'obésité, Connor est en danger. Il risque de souffrir d'ici quelques années de diabète, puis de maladies cardiovasculaires avant 20 ans. "Il risque vraiment de mourir avant 30 ans" s'il n'est pas soigné correctement, souligne le praticien.
Connor, qui vit avec sa mère et sa soeur, a du mal à s'habiller et se laver seul, est régulièrement absent de l'école en raison de santé. Son obésité lui vaut en outre d'être la cible de quolibets incessants. AP 26.02.2007 20:08

samedi, février 24, 2007

Conférence "Soigne ta forme"

Conférence du jeudi 22 février 07 du Physic Club de la Chaux de Fonds.
Remarquablement organisé par le Team du Physic Club à l’Hôtel « Les Endroits » à La Chaux de Fonds
76 personnes présentes femmes et hommes mélangés de tous âges 19 h 00 à 21 h 15
Formidable ambiance positive
Le Club a offert un sac de sport et le guide « Soigne ta forme » à chaque personne
La prochaine conférence pour les « + de 40 ans » promet de dépasser les 100 personnes ; une salle spécifique sera préparée pour cet événement.
Je vous tiendrai au courant très prochainement de cela.

Venez nombreux à ces conférences, c'est toujours un plaisir de pouvoir vous rencontrer.

Pour l'agenda, je vous donne le lien avec les détails complets: http://www.topsante.ch/sts/sts_news.php


François

vendredi, février 16, 2007

Influence bénéfique d’une alimentation riche en protéines et pauvre en glucides

Une alimentation riche en protéines et pauvre en hydrates de carbone réduit le risque d'infarctus chez les femmes.

Les femmes qui ont durablement un régime appauvri en hydrates de carbone et enrichi en protéines et en matière grasse risquent moins de subir un infarctus du myocarde que celles qui consomment peu de matières grasses et beaucoup d'hydrates de carbone comme le préconisent les recommandations officielles.
Tel est le constat le plus récent de la "Nurses’ Health Study" *étude de longue durée (20 ans) réalisée aux Etats-Unis.
Le point de la situation: De nombreuses études scientifiques réalisées ces dernières années ont montré qu'une réduction de l'apport d'hydrates de carbone au profit des protéines ou des acides gras insaturés, ou encore d'une combinaison de ces deux types de nutriments, stimule le métabolisme des graisses, abaisse la tension artérielle et permet un meilleur contrôle du poids corporel. Ces effets bénéfiques ont cependant toujours été relativisés sous prétexte qu'un régime enrichi en protéines et/ou en matière grasse pourrait être néfaste et que l'innocuité d'un tel régime sur le long terme n'a pas été vérifiée. Un argument qui revient souvent est qu'un apport accru de protéine et de matière grasse animales augmenterait le risque de maladie coronarienne.
Problématique: Afin d'étudier cette question, un groupe de scientifiques dirigé par le professeur Walter Willett, de l'Université de Harvard, a analysé les données recueillies au cours de la "Nurses' Health Study" réalisée aux Etats-Unis, et où 82 802 femmes ont été suivies sur 20 ans. Pendant cette période, 1994 cas de maladie coronarienne (MC) ont été enregistrés.
Dans le cadre d'une analyse multivariable, on a cherché à établir s'il y avait un lien entre la survenance de la MC et les habitudes alimentaires des participantes.
Résultats: Chez les participantes ayant le régime le plus pauvre en hydrates de carbone et le plus riche en protéines et en matière grasse (1er décile: HC = 37 %; Pr = 23 %; MG = 40 %), le risque d'infarctus était 6% plus faible (RR = 0,94; IC = 0,76 – 1,18) que chez celles qui avaient le régime le plus riche en hydrates de carbone et le plus pauvre en protéines et en matière grasse (10e décile: HC = 59%; Pr. = 16 %; MG = 27 %). Cette différence n'était toutefois pas statistiquement significative.Dans d'autres analyses de sous-groupes, on a étudié l'impact des denrées alimentaires en fonction de leur source (animale ou végétale). Les résultats étaient les suivants: chez les femmes ayant le régime le plus pauvre en hydrates de carbone (35 %) et le plus riche en protéines animales (20 % sur un total de 24 % de protéine) et en graisse animale (27 % sur un total de 40 % de matière grasse), le risque d'infarctus était 6 % plus faible (RR = 0,94; IC = 0,74 – 1,19) que chez celles qui avaient le régime à la fois le plus riche en hydrates de carbone (58 %) et le plus pauvre en protéines animales (10 % sur un total de 16 % de protéine) et en graisses animales (13 % sur un total de 28 % de matière grasse).
Cette différence n'était pas non plus statistiquement significative.L'analyse des sous-groupes a en revanche donné des résultats statistiquement significatifs pour ce qui concerne la consommation d'aliments d'origine végétale: comparées aux femmes qui avaient le régime le plus riche en hydrates de carbone (56 %) et le plus pauvre en protéines végétales (4 % sur un total de 18 %) et en graisses végétales (10 % sur un total de 27 %), celles qui avaient le régime le plus pauvre en hydrates de carbone (45 %) et le plus riche en protéines d'origine végétale (6 % sur un total de 19 % de protéine) et en graisses végétales (19 % sur un total de 36 % de matière grasse) étaient 30 % moins exposées à un infarctus (RR = 0,70; IC = 0,56 – 0,88). Dans ce cas-là, la différence était statistiquement significative.Dans une autre étude, les scientifiques ont étudié l'impact des macronutriments sur la survenance de l'infarctus du myocarde. Il est apparu qu'il n'existe aucun lien entre l'apport de protéines, de matière grasse et d'hydrates de carbone, d'une part, et l'infarctus du myocarde d'autre part! Un apport accru de matière grasse animale ou de protéine animale ne faisait pas non plus augmenter le risque d'infarctus. Par contre, une corrélation inverse statistiquement significative a été constatée entre l'apport de matière grasse végétale et le risque d'infarctus: les femmes en consommant le plus étaient 25 % moins exposées à un infarctus par rapport à celles qui en consommaient le moins (IC: 0,57-0,98).
L'étude a mis en évidence que le facteur d'influence de loin le plus important sur le risque d'infarctus était la charge glycémique (produit de la quantité d'hydrates de carbone et de l'index glycémique): la charge glycémique en moyenne la plus élevée allait de pair avec une augmentation de 90% du risque de MC (RR: 1,90; 1,15 – 3,15) par rapport à la charge glycémique la plus basse! Résumé: La plus vaste étude prospective de longue durée jamais réalisée au niveau mondial a mis en évidence que les principaux facteurs de risque d'infarctus du myocarde sont non pas les protéines animales ou les graisses animales, mais une alimentation riche en féculents et en sucre! Elle a également permis d'abolir les préjugés à l'encontre des régimes low-carb: les régimes pauvres en hydrates de carbone, enrichis en protéines animales qui allient, en quantité modérée, les protéines végétales (légumineuses, soja, noix etc.) et de la matière grasse pour une grande part de source végétale (huile d'olive ou de colza), réduisent le risque de d'infarctus du myocarde. Les personnes désireuses d'adopter ce type de régime pourront le faire par exemple en suivant les recommandations de la méthode LOGI.Halton TL, Willett WC, Liu S, et al. Low-carbohydrate-diet score and the risk of coronary heart disease in women. N Engl J Med 2006;355:1991-2002.

Source: Producteurs Suisses de Lait - SMP - PSL - Février 2007

mercredi, février 14, 2007

Conférence "Soigne ta forme"

Je tenais à vous faire part du grand succès à la conférence sur le thème « Tout savoir sur le programme Soigne ta forme » donnée le lundi 12 février 07 au fitness Point Forme à Corcelles /Neuchâtel. Nos conférences ont de plus en plus de succès et surtout me conforte tous les jours dans notre approche de la santé et du fitness.
Vous imaginez, 51 personnes se sont inscrites grâce au patron, Carlos, et surtout 51 personnes sont venues et sont restées,de 19 h 00 à 21 h 00, 100% de transformation.
La nutrition saine préconisée par le programme Soigne ta forme ainsi que certains éléments concernant l’optimisation de l’entraînement fitness pour les personnes ayant peu de temps à disposition ont été développés.
La complémentation optimale pour celles et ceux motivés à bien faire les choses afin d’obtenir de bons résultats a été expliquée.
Tout le monde a ensuite dégusté une bonne barre TopWell et la séance s’est terminée aux alentours de 21 h 15.

Félicitation à Carlos et à son team de coach pour leur excellent travail !
François Giordani

dimanche, février 11, 2007

Amélioration de la performance et de la récupération

Heureux sportifs ! Les oméga 3 ont tout pour vous plaire.

Ce qu’il faut retenir, c’est qu’ils rendent leur souplesse aux globules rouges, rigidifiés par l’activité sportive d’endurance. Ça n’a l’air de rien, mais ça change tout. D’abord cela permet de mieux alimenter les muscles, les organes, la peau, donc d’améliorer les performances, il n’y a absolument aucun doute. En effet, lorsque le sang est moins fluide (parce que ses cellules sont plus rigides), le débit du sang se réduit forcément. Ce ralentissement empêche le corps d’évacuer la chaleur aussi vite qu’il le voudrait, rallonge le temps de distribution de la « nourriture » aux muscles (notamment le sucre, l’eau et l’air), abaisse les capacités respiratoires.
Par ailleurs, l’activité sportive en elle-même « pompe » dans les réserves d’oméga 3, qui sont des graisses plus mobilisables et préférées par le corps pour la combustion. D’où leur intérêt pour perdre du poids. Et surtout d’où l’intérêt de se supplémenter en oméga 3 lorsqu’on pratique régulièrement une activité physique.
Enfin, en cas de tendinite – ou autres douleurs liées au sport-, une supplémentation renfermant de fortes doses d’oméga 3 (en général associés à des antioxydants) remettent sur pied de façon parfois spectaculaire. Ne vous en privez pas !
Sportifs asthmatiquesLes sportifs asthmatiques sont gagnants sur toute la ligne. Non seulement ils sont susceptibles d’améliorer leurs performances physiques, mais en outre les gênes respiratoires (bronchoconstriction) sont levées ou, en tout cas, nettement amoindries. Les résultats des études montrent en effet qu’après la prise de suppléments d’huile de poisson, les athlètes souffrent moins d’inflammation des bronches d’une part, et leurs résultats aux tests respiratoires sont en nets progrès d’autre part.
4 points importants

Le sport est très bénéfique, mais il provoque aussi des «déchets ». Il agresse le corps et se montre très gourmand en nutriments. D’où l’intérêt des boissons ou barres spécifiques pour sportifs, qui renferment d’une part des vitamines et minéraux pour la performance et simplement pour remplacer les stocks « pillés » par l’exercice, d’autre part des antioxydants qui protègent l’organisme des « méfaits » du sport. Si vous êtes fatigué après une séance de sport, c’est que vous en avez sérieusement besoin.

Les oméga 3 ne servent pas qu’à battre vos propres records. Ils traitent aussi les tendinites en un temps record. A préférer sans aucun doute aux anti-inflammatoires habituels.

Les oméga 3 sont particulièrement recommandés en cas de sport en altitude (ski, randonnée, escalade, alpinisme…). La raréfaction de l’oxygène est vraiment problématique pour l’organisme. C’est aussi vrai en été !

La supplémentation en oméga 3 améliore non seulement les performances physiques mais protège l’organisme de l’agression liée aux efforts d’endurance.
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Extrait du livre:La révolution des omega 3Auteur : Auteur : Anne Dufour Disponible aux éditions Leduc

samedi, février 10, 2007

La rubrique du Personal Trainer

Perdre de la graisse, être en forme cet été (et oui cela va vite):
C’EST POSSIBLE!

François Giordani est co-fondateur de STS et promoteur du Challenge. Titulaire d'un diplôme de préparateur physique, il vous fait bénéficier de 30 ans d'expérience dans le domaine du sport, du fitness et de la remise en forme.

Pour cela, suivez les 6 meilleures recommandations de STS

1. Pour éliminer vos graisses, pratiquez le renforcement musculaire

L’entraînement régulier avec charges additionnelles (barres et haltères) stimule le métabolisme basal, donc augmente la dépense de calories par l’organisme pendant près de 9 heures. Trois entraînements par semaine suffisent.


2. Faites du cardio après le renforcement musculaire. C’est primordial

Le cardio effectué après le renforcement musculaire est beaucoup plus efficace pour brûler des graisses car les réserves de glycogène musculaire sont basses. De ce fait, vous «puisez» rapidement dans les triglycérides (acides gras).


3. Entraînez-vous avec plus d’intensité

En mettant davantage d’énergie, de vigueur, bref d’intensité dans vos entraînements fitness, vous augmenterez radicalement la consommation de calories pendant et surtout après les entraînements musculation + cardio.

4. L’hygiène alimentaire est la clé du succès

Se nourrir sainement est non seulement une obligation vis-à-vis de sa santé et de son corps, mais c’est l’unique solution pour obtenir un physique harmonieux et agréable.

Mangez moins à la fois, mais plus souvent. La règle d’or: 5 à 6 petits repas par jour!

Matin : 1 doseur de TopWell « Pure Whey Protein » + un bol de céréales complètes + lait 0% + un softgel de Flaxseed Oil (Oméga 3)
10 h 00 : une barre TopWell + un fruit + eau
Midi : une grosse portion de salade/crudités/légumes cuits + C.S. d’huile de colza + une portion de viande maigre + une petite portion de pâtes/riz/pommes de terre/pain + un softgel de Flaxseed Oil (Oméga 3)
16 h 00 : une barre TopWell + un fruit + eau
Après l’entraînement : Aftermax + eau (recharge physiologique)
1 h après (souper) : une grosse portion de salade/crudités/légumes cuits+une C.S. d’huile de colza ou d’olive + une viande maigre ou fromage 1/4g ou cottage cheese + une petite portion de pain, pâtes, riz + un softgel de Flaxseed Oil (Oméga 3)

2 h après, au coucher (si faim) : 1 doseur de TopWell Pure Whey Protein + eau ou lait 0%


Pour plus de renseignements concernant la diététique spécifique à la perte de graisse préconisée par STS, consultez le Guide du Challenge.


5. Buvez 2 à 3 litres d’eau par jour

Plus vous devez perdre de graisse, plus vous devez consommer d’eau.
Il faudrait boire tous les jours 10 à 15 verres d’eau de 2 à 3 dl. Des études scientifiques ont démontré qu’une diminution de l’apport hydrique avait tendance à faire augmenter les dépôts graisseux. D’autre part, si vous avez tendance à faire de la rétention d’eau, donnez à votre organisme ce dont il a besoin pour s’en débarrasser, c’est-à-dire de l’eau justement!


6. Utilisez des compléments alimentaires adéquats

Les compléments alimentaires ont parfois une mauvaise image auprès du grand public. C’est dommage car ils représentent une aide précieuse aux personnes qui désirent fournir à leur organisme les éléments nécessaires au maintien de leur santé, tout en éliminant les calories superflues contenues dans les aliments conventionnels. A peu de frais, ils permettent de potentialiser considérablement les effets positifs des entraînements physiques fitness et de l’hygiène alimentaire suivie. De plus, ils fournissent les éléments décisifs au niveau du maintien de la musculature, donc d’un métabolisme de base actif, qui brûle des graisses au repos.
Il est vrai que dans la «jungle» des produits offerts actuellement au consommateur, ce dernier se doit d’être bien renseigné sur ce qu’il achète avant de consommer.


Si vous désirez sortir du lot dès cet été, procurez-vous le Guide du Challenge, lisez-le à fond et mettez en pratique ce qu’il préconise. Vous serez stupéfaits des résultats que vous obtiendrez.



Par François Giordani

mercredi, février 07, 2007

Activité physique et santé

Monsieur et Madame Tout-le-monde
Quel que soit l’âge ou le sexe, il et recommandé de pratiquer un sport d'intensité moyenne ou, plus simplement, d'exercer une activité physique pendant au moins une demi-heure quotidiennement. Si elle est suivie, cette recommandation — qui se fonde sur des travaux scientifiques sérieux — est un gage de bien-être physique et psychologique.

La pratique d'une activité physique d'intensité moyenne essouffle légèrement sans toutefois faire transpirer. Marcher d'un bon pas, faire du vélo, déblayer de la neige et jardiner sont de bons exemples. De nombreuses autres activités plus ou moins "sportives" sont aussi considérées comme étant d'intensité moyenne. Il est non seulement possible mais aussi judicieux de pratiquer plusieurs activités et de les combiner librement.
Par ailleurs, il n’y a pas de nécessité d'accomplir cette demiheure quotidienne en une seule fois! Ainsi, il est tout à fait possible d’additionner toutes les périodes d'activité physique dépassant 10 minutes. Ces 30 minutes quotidiennes d'activité d'intensité moyenne permettent de brûler au moins 1000 calories (kcal) supplémentaires par semaine. Pour les personnes déjà actives C'est en passant de l'inactivité totale à une demi-heure quotidienne d'activité que les résultats sont les plus spectaculaires. Cependant, rien n’empêche la personne déjà habituée à ces 30 minutes quotidiennes d'activité physique d'aller plusloin et d'améliorer encore son bien-être, sa condition physique et ses performances. L’endurance, la capacité musculaire et la souplesse peuvent faire l'objet d'un entraînement spécifique.
Pour être efficace, l’entraînement cardio-respiratoire se composera d'au moins 3 séances hebdomadaires d'une durée comprise entre 20 et 60 minutes. L'intensité recommandée sera atteinte si, tout en transpirant un peu et en étant légèrement essoufflé, la personne est encore capable de parler. Les sports appropriés sont tous ceux qui font travailler de grands groupes musculaires (jogging, cyclisme, natation, ski de fond, mais aussi entraînement spécifique avec des engins adaptés).
A n’importe quel âge, musculation rime avec santé et bienêtre. Ce type d'entraînement permet aux personnes de plus de 50 ans de rester plus longtemps performantes et autonomes, puisque elles développeront et maintiendront leur masse musculaire (muscles du tronc, des membres inférieurs et supérieurs). L'entraînement devrait avoir lieu deux fois par semaine. En le complétant par des exercices de gymnastique ou de stretching, les personnes actives garderons aussi toute leur souplesse.
Autres bienfaits de l’activité physique et du sport D'une manière générale, les personnes qui pratiquent une activité physique fument moins et ont de meilleures habitudes alimentaires. Cette constatation est une motivation supplementaire pour promouvoir la santé par l’activité physique et le sport. Si l’entraînement va plus loin que les deux niveaux susmentionnés, le sportif retirera des avantages supplémentaires au niveau de sa condition physique. Il faut cependant savoir que ce "plus" n'est pas exponentiel. Si on court plus de 50 kilomètres ou que l’on nage plus de 5 heures par semaine, par exemple, on ne verra pratiquement plus de différence. S'il n'est pas foncièrement mauvais pour la santé de s'entraîner encore plus longtemps, il faut cependant savoir trouver un point d'équilibre entre l'entraînement, le repos et l'alimentation. Il est donc indispensable d'organiser judicieusement les compétitions et les entraînements afin d'éviter tout symptôme de surcharge. Enfin, la pratique d'une activité physique améliore aussi la gestion du stress, l'estime de soi et l'insertion sociale.

On s'est aperçu que les gens ne changent pas leurs habitudes du jour au lendemain. Bien au contraire, il s'agit d'un long processus qui se déroule en plusieurs étapes et qui inclut souvent des "rechutes". Il est donc d'autant plus important dans des conseils pour encourager la pratique d'une activité physique tiennent compte de la complexité de ce processus ainsi que des caractéristiques du public auquel s'adressent.
Les personnes totalement inactives ne parviennent pas toujours du premier coup à suivre toutes ces recommandations? Qu'importe! N'oublions pas que chaque pas est important et
que tout effort, même minime, améliore déjà le bien-être de la personne!

Autres activités sportives
endurance
3 séances hebdomadaire de 20-60 minutes
force/ souplesse 2 séances hebdomadaire
une demi-heure quotidienne de mouvement sous forme d’activités physique intégrées à la vie
de tous les jours ou de sport.

Les spécialistes recommandent à chacun, quel que soit son âge ou son sexe, de pratiquer un sport d'intensité moyenne ou, plus simplement, d'exercer une activité physique pendant au moinsune demi-heure quotidiennement. Si elle est suivie, cette recommandation est un gage de bien-être physique et psychologique.

Résumé des recommandations:
Les personnes déjà habituées à cette demi-heure d'activité physique quotidienne peuvent encore améliorer sensiblement leur bien-être, leur condition physique et leurs capacités.
Les sportifs chevronnés qui s’entraînent encore davantage retireront des avantages supplémentaires au niveau de leur condition physique. Il faut cependant savoir que ce "plus" n'est pas exponentiel.


Source: Office fédéral du sport

dimanche, février 04, 2007

Le surapport de protéines ne provoque pas de lésions rénales

On met souvent en garde contre les régimes trop riches en matière azotée - et en particulier contre l'excès de protéines animales - sous prétexte que les reins pourraient en pâtir. Cette thèse manque cependant de fondement scientifique, car elle s'appuie uniquement sur l'expérimentation animale et sur des études portant sur des sujets atteints de pathologies rénales. Quelques-uns de ces travaux, mais de loin pas tous, ont effectivement montré qu'une réduction des apports protéiques retarde la progression de l'insuffisance rénale.
Afin de déterminer de manière systématique l'effet néphropathologique possible d'apports
protéiques abondants chez le sujet bien portant, les données obtenues de la Nurses’ Health Study, une étude d'observation de longue durée portant sur plus de 120 000 infirmières, réalisée aux Etats-Unis, avaient été analysées*. En 1989, la fonction rénale de 1624 participantes avait été évaluée sur la base d'une analyse de la formule sanguine, par la mesure de la clairance de la créatinine et de la vitesse de filtration glomérulaire. Une légère insuffisance rénale avait été décelée chez 489 d'entre elles. Les examens ci-dessus furent alors répétés en l'an 2000. Par ailleurs, le mode d'alimentation des probantes fut recensé plusieurs fois pendant les 11 ans d'observation.
Résultat: Chez les 1135 femmes dont la fonction rénale était intacte au début de l'étude, une
consommation élevée de protéines s'avéra inoffensive pour les reins. Aucun lien ne put d'autre part être établi avec la source des protéines ou le fait qu'elles soient d'origine animale ou végétale. Seules les 489 participantes souffrant au départ de légère insuffisance rénale
manifestèrent une réaction aux protéines: chez celles qui présentaient la consommation en
moyenne la plus élevée (entre 86 et 143 g/jour), le risque de détérioration de la fonction rénale
(d'au moins 15 pour cent) au cours des 11 ans d'observation était significativement plus élevé.
Commentaire
Pour d'autres informations
Chez le sujet bien portant, l'absorption durable de grandes quantités de matière azotée ne porte
apparemment aucun préjudice à la fonction rénale. Des études antérieures avaient déjà montré que le rein s'adapte à long terme à une consommation élevée de protéines par une augmentation de volume et donc de sa capacité. Cette nouvelle étude montre une fois de plus que les données issues d'expériences réalisées sur des animaux ne peuvent en aucun cas être transposées sur l'être humain, parce que les doses appliquées sont souvent extrêmement élevées et que les conditions d'expérimentation ne sont pas assez proches de la réalité. Il faut se garder par ailleurs d'appliquer au sujet bien portant des constats valables pour des pathologies spécifiques, "à titre préventif".

*Knight EL, Stampfer MJ, Hankinson SE, Spiegelman D, Curhan GC. The impact of protein intake on renal function decline in women with normal renal function or mild renal insufficiency. Ann Intern Med
2003;138:460-7.

Fédération des Producteurs Suisses de Lait (PSL)

http://www.swissmilk.ch

samedi, février 03, 2007

« Soigne ta Forme », Avant première

Qui êtes-vous?
Si vous faites partie des personnes sédentaires qui ne pratiquent pas ou peu d'activité sportive (moins de 30 minutes par jour ou moins de 3x par semaine 1heure minimum), que vous possédez depuis longtemps une surcharge pondérale importante dont vous n'arrivez pas à vous débarrasser avec les régimes traditionnels et que vous possédiez certains signes caractéristiques mentionnés ci-dessous , il est probable qu'en suivant le PNC Programme Nutritionnel Ciblé, vous arriverez à vous débarrasser de vos kilos superflus.




Afin de savoir si vous correspondez à ce type de personnes, répondez simplement aux questions suivantes:

Vous reconnaissez-vous à travers ces signaux caractéristiques?
- Irrésistibles, fréquentes et impérieuses envies d’aliments sucrés
- Gros coups de fatigues, besoin de dormir après avoir consommé des repas riches en glucides
- Une importante surcharge de graisse, spécialement autour de la taille "type pomme"
- Toujours plus de difficultés à maigrir via les régimes traditionnels
- De la rétention d’eau
- De l’hypertension, même légère
Si oui, vous faites peut-être partie des personnes dont l’organisme a de la peine à assimiler les glucides
et dont généralement la situation empire avec l’âge. Rassurez-vous, le PNC vous apporte une solution à de nombreux niveaux :
- Une perte de graisse significative, même dans les zones réfractaires, comme les cuisses et les fesses chez les femmes, le ventre et le bas du dos chez les hommes
- Un abaissement de l'éventuelle rétention d’eau
- L’apaisement de la faim
- Une diminution sensible de vos fringales pour le sucre
- Bien-être
- Facile à mettre en route et à suivre
- Vous mangez à votre faim
- Vous vous faites plaisir